Cher Pascal,
Donc voilà, une fois de plus tu à voulu me prendre l’honneur. Soit !
Alors donc, et seulement pour bien t’emmerder, je vais vivre à fond, sans jamais oublier que souvent,
avec ta hargne toujours être là, tu étais là, plus que les autres… surchargé de don, de soutien et autre offrande.
Je suis très heureux d’avoir eu le plaisir de croiser ta route.
Et ce jour je me demande quel est le con qui à déclamé « Il faut bien que la roue tourne » !
Repose en paix
Patrick Dujancourt